Moi, je pense que les gens qui avaient des informations n'y ont pas cru.
Pour en revenir au risque de sur-attentat, il y a eu trois explosions : les deux premières à trois minutes d'intervalle, la troisième environ vingt minutes plus tard. Après la troisième, nous savions qu'il y avait très peu de risques que les terroristes soient entrés dans le stade. Il a donc été décidé que les gens y seraient plus en sécurité. Nous avons attendu que la police ait bien vérifié la zone et tous les parcours vers les RER B et D, et la ligne 13 du métro, pour laisser partir les gens.