Les dirigeants de Faurecia nous ont récemment expliqué qu'ils croyaient plus en l'avenir du véhicule hybride qu'en celui du véhicule autonome, pour des raisons qui tiennent, non pas à la technologie, mais à la lourdeur des investissements auxquels les États devraient consentir tant en matière d'aménagement routier que de connectique. Quel est votre avis à ce sujet ?