Nous avons la même problématique avec le IV qu'avec le VI. C'est même pire, du fait de la diversité des acteurs.
Les investisseurs ont, qu'il s'agisse du IV ou du VI, un rôle à jouer dans le « service après-vente », en s'assurant que l'information qui leur est donnée est utile, le meilleur indicateur étant que les investisseurs engagent un dialogue avec les entreprises. Pour infléchir la stratégie des entreprises, il convient de poser les bonnes questions, pas simplement de faire du reporting pour le plaisir de faire du reporting et de mettre des chiffres dans des cases. Lancer le dialogue, cela veut dire, pour des investisseurs, envoyer des questionnaires aux entreprises. Et si certaines demandes peuvent paraître stupides, demander à son investisseur comment améliorer les choses, c'est un début de dialogue.