Vous avez rappelé l'attentat de Saint Quentin Fallavier, qui se trouve dans ma circonscription. Vous le savez, les gendarmes ont été profondément traumatisés par ce qu'ils ont découvert en arrivant sur les lieux. Quels types de formation mettez-vous en place, ou faudrait-il instaurer, pour accompagner ces hommes et ces femmes dont le métier les conduit parfois à connaître de situations hors du commun ? Par ailleurs, comment appréhendez-vous la question de la radicalisation des gendarmes, tant en poste que parmi les candidats ? Enfin, alors qu'un rapport d'évaluation des conséquences du rapprochement entre la police et la gendarmerie doit en principe être établi tous les deux ans, qu'en est-il du prochain ? Les préconisations de ce genre de rapport peuvent en effet nous aider à modifier le droit existant en vue de vous rendre service.