Nous l’avons renforcée, alors même que certains de votre bord politique demandent la fin du paritarisme, refusent le dialogue social, demandent l’organisation de référendums à la main des employeurs. Voilà la réalité !
Je m’étonne donc que vous vous fassiez, aujourd’hui, le porte-parole de l’un de ces syndicats. J’ai, en effet, reçu un courrier de sa part : j’y répondrai, comme j’en ai l’habitude. Soyez rassuré sur ce point : M. Mailly aura bien une réponse officielle de ma part.
Au-delà de cette question, vous avez dit que ce projet de loi avait été vidé de son contenu. J’ai assisté aux réunions de la commission des affaires sociales ; j’ai trouvé très savoureuses les différentes interventions sur ce texte. Cela montre, d’une certaine manière, que nous avons trouvé un très bon compromis.