Avant l'article 12 de la loi du 14 juin 2013, issu de la négociation sur la sécurisation pour l'emploi, il n'y avait rien pour les salariés à temps partiel Nous sommes donc partis de rien. Il faut reconnaître le manque de volonté du patronat de négocier ces accords. Néanmoins, à ce jour, 34 accords de branche sont étendus, ce qui représente plus de 78 % de salariés. Le problème est maintenant de donner une réalité aux contreparties pour améliorer les conditions de travail des salariés à temps partiel et permettre aux femmes qui le souhaitent d'augmenter leurs horaires hebdomadaires ou de travailler à temps plein.