Il paraît sage, en effet, de rejeter cet amendement, de même qu'il faut refuser la consécration d'un droit à l'expression religieuse dans l'entreprise. Les deux positions sont tout aussi risquées. On ne peut parler des « modalités d'application du principe de neutralité religieuse » alors qu'il ne s'applique pas aujourd'hui aux lieux privés. Mieux vaut en rester à la situation actuelle.