À notre grande surprise, lors de son audition, l'Union professionnelle artisanale (UPA) nous a fait part de son opposition très forte aux accords d'entreprise, arguant de l'absence de personnes qualifiées pour les négocier.
Nous avons tenté, non sans mal, de rédiger un amendement sur les 24 heures – la durée minimale de travail du salarié à temps partiel –, car nous ne sommes pas complètement rassurés. Je me mets à la place d'un employeur confronté à la complexité infinie du droit du travail, et je comprends qu'il ne souhaite pas avoir à négocier d'accord.