Le paritarisme ne va-t-il pas être dépassé par autre chose, de même que les taxis l'ont été par Uber ? Le fait de conserver des pans entiers du modèle social sans guère le faire évoluer ni remettre de l'ordre, pour reprendre vos termes, n'est-il pas risqué à la veille d'une élection présidentielle, en vue de laquelle un certain nombre d'acteurs importants, notamment un ancien président de la République, ont fait des propositions lourdes de conséquences ? Comment des parlementaires tels que nous, qui défendons des positions équilibrées et raisonnables, peuvent-ils tenter de remettre de l'ordre ? Nous convenons tous qu'il faut prendre la question à bras-le-corps.