Si l'on croit qu'il suffit d'augmenter les heures de formation pour les personnes sans qualification, c'est que l'on connaît vraiment mal la question – or, tel n'est pas votre cas, chers collègues. L'expérience montre que, d'une manière générale, les personnes sans qualification ne veulent pas de formation. C'est regrettable, mais c'est une réalité. Que vous leur offriez quarante, quarante-deux ou quarante-huit heures de formation ne changera pas grand-chose. Pour ma part, je souhaiterais plutôt que l'on insiste sur la qualité de la formation et sur les organismes qui la dispense.