Je respecte la position de chacun et vous demande d'en faire de même pour celle que j'exprime en tant que membre de la représentation nationale.
Monsieur le président, madame la ministre, madame et monsieur les présidents de commission, madame et monsieur les rapporteurs, mes chers collègues, je trouve profondément regrettable que sur des sujets d'une telle importance sociétale, vous ayez choisi une méthode qui s'apparente au passage en force pour imposer au pays une réforme qui fait légitimement débat. Le fait majoritaire rappelé par la présidente de la commission des affaires sociales ne suffit pas à justifier le refus d'un véritable débat.