Les professionnels reconnaissent que le travail de nuit amène des difficultés de santé, mais un suivi semestriel n'apporte pas grand-chose de plus. Eux-mêmes disent qu'il faut seulement un suivi régulier, probablement annuel, mais pas davantage. La Haute autorité de santé (HAS) ne dit rien d'autre non plus.