Cet amendement vise à supprimer la possibilité d'imposer des interruptions d'activité d'une durée supérieure à deux heures. En effet, les horaires des salariés à temps partiel sont déjà très irréguliers. Permettre de leur imposer des interruptions d'activité trop importantes serait préjudiciable à leur temps de repos, surtout lorsqu'ils ont des temps de trajet importants. J'ajoute que cette problématique touche particulièrement les femmes, puisque les contrats à temps partiel leur sont majoritairement dévolus – je devrais dire imposés.