Vous fixez des objectifs pour reconquérir une capacité de négociation dans les relations bilatérales et multilatérales. Quel pilotage politique cela implique-t-il ?
Par ailleurs, comment asseoir nos priorités, compte tenu du foisonnement de bonnes intentions et d'initiatives en matière d'aide au développement ? Il est difficile de repérer les effets de levier qui permettent d'utiliser dans de bonnes conditions les ressources dont on dispose.
Enfin, dans le cadre du rapprochement entre l'AFD et la Caisse des dépôts et consignations, comment réactiver une réflexion stratégique et politique, au-delà du simple cadre technique, voire technocratique ?