J'entends les propos du rapporteur. Mais il faut mesurer le chemin parcouru depuis 2013 et le vote des accords défensifs, destinés à répondre à de graves difficultés économiques conjoncturelles – ce dernier terme a un sens. Ici, on parle d'accords « offensifs », visant à préserver et à développer l'emploi : cette phrase est absolument fourre-tout. Il y a trois ans, ce que nous avons fait était une initiative sérieuse pour préserver les salariés et lutter pour l'efficacité économique ; aujourd'hui, on ouvre une porte qu'on ne refermera pas, et on prend des risques majeurs pour tous ceux qui travaillent.