Une certaine unanimité me semble se dégager contre l'article 19, même si nous sommes aussi opposés au statu quo. La suppression donnera un signe fort issu des travaux parlementaires. Contrairement à ce qu'a dit Gérard Cherpion, il n'y a pas vraiment d'accord, puisque tous ceux qui sont impactés n'y ont pas été associés. Le travail est donc à reprendre.
Notre objectif final doit être le retrait de l'article pour laisser le temps à la négociation de revenir, d'ici à trois semaines, à une proposition bien mesurée dans laquelle tout le monde se retrouverait.