Ces amendements tentent de proposer un périmètre européen pour l'appréciation du licenciement économique. Pour ma part, je suis partisan d'un maintien du statu quo : lorsqu'il y a des licenciements, il faut que l'on puisse appeler à la rescousse une grande entreprise qui a des filiales dans le monde entier et qui produit son cash flow à l'autre bout de la planète.