Monsieur le président-directeur général, votre groupe s'est félicité en 2014 de l'annonce du plan Juncker, qui pourrait être une opportunité pour obtenir des soutiens financiers pour des projets d'infrastructure ou des filières innovantes. L'an dernier, la Banque européenne d'investissement a pris une participation de seulement 50 millions d'euros dans le fonds d'infrastructure Capenergie 3 qui participe à des sociétés de projet pour créer des parcs d'éoliennes, des fermes photovoltaïques ou des méthaniseurs. Cette somme est-elle suffisante à vos yeux ? Quel bilan faites-vous de ce plan ? Et comment pourrait-il être développé davantage au niveau de la branche énergétique dans les deux ou trois prochaines années ?