Souvent, aujourd'hui, les taux offerts sont même négatifs, en France comme en Allemagne, en Suisse ou au Japon : les épargnants n'y gagnent plus, ils y perdent au contraire. Cette situation où des investisseurs acceptent de perdre de l'argent pour prêter aux États est tout à fait unique, en tout cas dans l'histoire des cinquante dernières années…