S'agissant des opérations extérieures, vous avez pris beaucoup de précautions, amiral, en disant que les conjonctures peuvent vite évoluer, mais à court terme nos forces vont se retirer d'Afghanistan. Notre mission est également arrivée à son terme dans les Balkans. Quant à notre présence en Afrique, elle peut être configurée. Comment l'armée de terre va-t-elle gérer ce retour sur le territoire national ? Se consacrera-t-elle plus particulièrement aux opérations intérieures ? Quelles seront les conséquences sur le moral de nos troupes et le niveau des effectifs ? Enfin, quel est l'avenir de l'opération Epervier au Tchad ?