Il conviendrait plutôt de reprendre le dispositif adopté en réponse à la crise précédente, celle de 2008, en incluant toutes les catégories d’animaux et non les seuls animaux maigres, et en fixant le plafond d’aide minimale à 1 000 euros et non à 2 000 euros.
D’autre part, je demande au ministre d’inclure Château-Gontier dans la zone réglementée car son activité est paralysée du fait de sa proximité – à peine quelques kilomètres – avec cette zone.