Aujourd’hui, sans place de commerce officielle, des circuits parallèles s’organisent. Plus le temps passe, plus il sera difficile de récupérer les apports perdus.
La situation est également très préoccupante pour la filière du veau de boucherie. Or, avec 60 000 bêtes commercialisées chaque année, Château-Gontier occupe une place prépondérante dans le commerce des veaux et la création de cotations de référence.
Des mesures rapides s’imposent donc pour soulager les éleveurs et les négociants dans la situation difficile qu’ils affrontent.