Nous allons laisser en Afghanistan une armée sous-équipée, dépourvue des moyens matériels modernes indispensables au règlement d'un conflit. Autant dire que l'histoire de ce pays sera écrite par avance lorsque nous nous serons retirés. Quel est dès lors l'intérêt de laisser sur place plusieurs centaines de nos spécialistes pour former des formateurs, ou que sais-je encore ! Ils vont risquer leur peau pour pas grand-chose !