Pour poursuivre l'objectif de lutte contre la marchandisation du corps des femmes qui nous rassemble, ma position – je l'assume toujours en 2013, comme je l'ai assumée dans l'hémicycle en 2011 –, c'est une légalisation très encadrée, plutôt qu'une interdiction qui ne regarde pas ce qui se passe au-delà de nos frontières.
Si j'interviens maintenant, c'est qu'en prenant la parole dans la discussion générale je n'évoquerai pas la gestation pour autrui (Exclamations sur les bancs du groupe UMP), car elle est totalement étrangère au débat qui nous réunit aujourd'hui.