La plupart de vos journalistes possèdent désormais un compte Twitter, dont ils précisent bien que le contenu n'engage qu'eux-mêmes et non leur rédaction – ce qui est d'ailleurs assez contestable. Que pensez-vous des cas où un journaliste publie d'un côté, au sein de son journal, une information officiellement validée, tout en diffusant, de l'autre, sur son compte Twitter, des éléments dont les pouvoirs publics n'ont pas explicitement autorisé la diffusion ? Cela fait-il débat au sein des rédactions ?