Mme Dumas a évoqué les médias comme instruments de l'action terroriste. Il y a peut-être un défaut de confiance. On a cité l'exemple des États-Unis où, certes, il y a un référent, mais où les hélicoptères sont immédiatement sur les lieux d'un événement qui est donc vécu en direct. Les Américains aiment leur presse et peut-être que les Français n'aiment pas la leur – ce qui doit nous faire réfléchir. Pour que les choses aillent un peu mieux, il doit s'établir un rapport de confiance avec la presse qui, dans une démocratie, est un pouvoir important.