Mais affaiblir le droit du travail n’a rien de moderne. En 1999 déjà, un rapport d’Alain Supiot pour la Commission européenne faisait le constat de « l’échec de toutes les politiques de flexibilisation de l’emploi pour lutter contre le chômage ». Pourquoi s’entêter dans cette voie qui n’a jamais démontré son efficacité ?
Avec les collègues écologistes que je représente à cette tribune, nous portons au contraire l’ambition d’une réforme au service de l’intérêt général et de la justice sociale. L’écologie pense le XXIe siècle et s’opposera toujours à ceux qui veulent nous ramener au XIXe.