Il s’agit précisément d’en décrire les conditions et d’en limiter les impacts car ils devront être justifiés par des difficultés économiques dont l’entreprise devra démontrer la réalité et la gravité.
Doit-on rappeler que 44 000 accords d’entreprise ont été validés depuis 2013, y compris par les organisations syndicales qui demandent aujourd’hui le retrait du texte ?
Peut-on nier qu’il existe plus de sept cents branches et qu’il est nécessaire, pour les préserver et rendre les conventions collectives plus efficaces, de les réaménager ?
Cette nouvelle architecture du code du travail donne plus de pouvoir de négociation aux partenaires sociaux dans l’entreprise sur la durée et l’aménagement du temps de travail…