Mais en ignorant l’un et l’autre, le projet de loi finit par faire croire que le code du travail est le bouc émissaire du marché du travail.
Trois articles sont particulièrement révélateurs.
L’article 2, bien sûr. Au nom de la nécessaire souplesse qu’il faut injecter dans les entreprises, le texte généralise un processus amorcé en 2004 et renforce la primauté de l’accord d’entreprise sur l’accord de branche.