Les règles relatives à la durée et à l’aménagement du travail, au repos, aux congés payés, au travail de nuit, aux heures supplémentaires pourront désormais relever de chaque entité.
Le véritable enjeu n’est pas – comme on le suggère – de mesurer le degré de confiance accordé aux partenaires sociaux, mais d’avoir pleinement conscience que l’entreprise peut aussi être le lieu de l’échange inégal, et que les accords de branche et la loi sont précisément là pour rééquilibrer une relation structurellement déséquilibrée.