Je sais que comparaison n’est pas raison, mais la question qui se pose est de savoir si l’on ne prend pas le risque de déstabiliser les syndicats majoritaires dans une entreprise en permettant à des syndicats minoritaires de leur imposer in fine leur volonté.
Mon temps de parole étant presque écoulé, je conclus rapidement. Il faudra également discuter sur les accords dits offensifs, ainsi que sur la redéfinition du licenciement. Mais de mon point de vue, il n’y a rien qui empêche, au terme de discussions peut-être un peu épuisantes, de trouver des solutions entre nous.