Or, il existe des syndicats dits « réformistes », qui représentent une majorité des salariés et qui ont souligné des avancées contenues dans ce texte, même s’ils demandent encore quelques modifications.
La concertation qui a eu lieu entre le 17 février et le 14 mars était essentielle. Quand on veut promouvoir des compromis, pour avancer, il faut faire un pas vers l’autre. Si nous n’avions pas pris ce temps de concertation, nous aurions dû retirer ce projet de loi. Ce n’est pas notre souhait.