Il n'est pas facile de trouver l'équilibre entre la nécessité d'informer le public lors du déroulement d'un événement tragique, et le respect de la dignité de la personne humaine. Le Conseil a estimé, en février 2015, que la diffusion d'une photographie, sur laquelle le visage du policier avait été préalablement flouté, rendait compte de l'horreur de la journée du 7 janvier, mais que le choix de diffuser la séquence complète était attentatoire à la dignité de la personne humaine.