Aujourd'hui, la loi ne donne pas au CSA la compétence pour une intervention en temps réel. Par ailleurs, cette démarche ne correspond pas à la philosophie du Conseil fondée sur des interventions a posteriori. Très attaché au respect de la liberté éditoriale des chaînes, le Conseil a bien conscience des enjeux liés à la protection de l'ordre public et au respect de la dignité de la personne humaine, mais ce type d'intervention n'entre pas dans ses missions.