Monsieur le Premier ministre, à défaut d’aller mieux ou d’être en marche, la France constate tristement vos échecs, vos promesses révolues et les déclarations contradictoires au sein même du Gouvernement. Quoi de mieux pour illustrer cet état de fait que la déclaration récente du chef de l’État concernant la réduction arbitraire de la part du nucléaire dans notre mix énergétique de 75 à 50 % d’ici à 2025 ?