Dans son rapport relatif au programme de stabilité, notre rapporteure générale Valérie Rabault estime cet ensemble de dépenses à 4 milliards dès 2016, 7 milliards en 2017 et 10 milliards en 2018. Et c’était sans compter l’annonce par le Président de la République d’une nouvelle baisse de l’impôt sur le revenu des ménages.
Monsieur le ministre, ma question est double.
Premièrement, le tour de passe-passe de 22,5 milliards sur le montant de la dette de l’État traduit-il une gestion responsable des finances publiques ?