L’article 1er a, lui, subi un régime favorable grâce à la suppression des soixante et un « principes du droit du travail », jugés essentiels par leurs auteurs, mais dont certains étaient des plus malvenus et inopportuns. Il continue cependant à prévoir la création d’une commission chargée de procéder à la refondation de notre droit du travail, une tâche qui devrait être celle du Parlement. C’est un vrai scandale pour le Parlement !
Je regrette donc la présentation d’un tel texte, qui ne règle en rien le problème du chômage, ne répond pas aux besoins des entreprises, nullement incitées à embaucher, divise les Français et dévalorise une fois de plus l’image de notre pays sur la scène internationale.