N’avons-nous pas entendu les mêmes critiques lors de l’examen de la loi de sécurisation de l’emploi, dont vous étiez rapporteur, monsieur Germain ? On a pu dire, dans le débat parlementaire – je l’ai lu –, que l’ensemble des syndicats allaient signer des accords au rabais. Or, sur le terrain, on constate que les accords sur les plans de sauvegarde de l’emploi sont très largement signés, y compris par des organisations syndicales qui se prévalent d’une ligne dure et qui s’élèvent aujourd’hui contre ce texte.