Je considère, à l’instar de l’excellent rapporteur Christophe Sirugue, que c’est aux représentants, aux syndicats, de déterminer ce qui est favorable.
La logique de l’accord majoritaire ne vaut que si l’on élargit l’objet de la négociation. De nombreux écrits sur le dialogue social l’ont montré : dans le formalisme, il y a beaucoup de négociations, mais on ne négocie pas les choses les plus importantes. Plus on élargit, plus on a la capacité de trouver des compromis.