Monsieur le président de la commission, vous avez fait part des réserves de la commission sur ce texte.
Le moment n'est pas opportun, dites-vous. Il est vrai que d'autres échéances vont arriver et je me réjouis, comme du reste l'ensemble de mon groupe, de l'annonce d'une prochaine modernisation en ce domaine. Mais nous avons aussi besoin de montrer que les choses avancent. Attendre la fin de l'année si ce n'est l'année prochaine nous paraissait trop tardif. Nous considérons que cette modification du règlement s'inscrit dans le mouvement enclenché par le Président de la République et par notre président de l'Assemblée nationale et qu'elle constitue notre apport.
Je ne reviendrai pas sur notre fonctionnement interne, je m'en suis déjà expliqué.
« Nulle part ailleurs dans le monde », on ne modifie le règlement sur ce sujet, avez-vous également objecté, monsieur le président de la commission. Tant mieux ! Nous serons une nouvelle fois novateurs et précurseurs.