C’est cela, le coeur du problème. Je comprends, monsieur le député, l’émotion des personnels. J’entends les alertes des élus. Et je veux dire à ceux qui s’inquiètent aujourd’hui que je ne prends pas cette situation à la légère.
Vous étiez hier à Clairvaux. Vous y avez rencontré mes plus proches collaborateurs, qui y ont passé la journée. Le directeur-adjoint de l’administration pénitentiaire était là, lui aussi. Au regard des éléments dont mes collaborateurs ont pris connaissance, j’ai demandé un supplément d’information.