Intervention de Jacques Myard

Réunion du 18 juillet 2012 à 16h15
Commission des affaires européennes

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJacques Myard :

Je ne partage pas votre sentiment. Dès lors que la Cour estime que les États ne sauraient procéder à une peine privative de liberté en vue de remédier à l'échec des mesures coercitives d'éloignement forcé, elle remet de toute évidence en cause la pratique de la garde à vue.

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