Si encore cette opposition frontale avec les vôtres avait été mise au service d’une grande réforme pour le pays, nous aurions pu vous accorder des circonstances atténuantes mais, avec cette loi travail, nous revivons l’exacte réplique de la loi Macron : des mots, toujours des mots et, pour résultat, un texte creux, vide et même dangereux, qui ne sera adopté que par un consternant recours à l’article 49, alinéa 3.