Nous avons beaucoup travaillé avec le gouvernement au moment de la loi de modernisation du système de santé. Nous sommes très favorables au développement du DMP, même s'il faut être très vigilant non seulement s'agissant de la sécurisation des données mais aussi des enjeux du masquage de certaines informations par le patient. S'il y a ces garanties, si c'est l'assurance maladie qui se charge de la mise en place du DMP, nous y sommes très favorables. Il faut toutefois constater que pour le moment, des DMP sont ouverts mais restent vides. Il faudra peut-être inventer de nouvelles rémunérations pour les acteurs de santé afin que ceux-ci s'impliquent davantage dans cette démarche. Il y a notamment un travail de synthèse à faire, qui doit être rétribué.