Vous avez évoqué, Monsieur le directeur général, le marché parallèle des armes. Il est vrai qu'il est facile, en France, en Belgique, d'acheter des armes pour des sommes modiques. Quels moyens sont-ils mis en oeuvre pour juguler ce trafic ?
Ensuite, les moyens financiers et humains de Daech, d'Al-Qaïda et d'autres groupes diminuent-ils vraiment ?
Enfin, à l'occasion des manifestations qui ont lieu en ce moment en France, on constate le retour des casseurs qui n'ont rien à voir avec les manifestants, avec les revendications légitimes des travailleurs et des organisations syndicales. Or nous nous interrogeons sur la violence de ces casseurs, leur organisation, leur matériel. Que peuvent faire vos services en amont, afin d'éviter que ces énergumènes ne se mêlent aux cortèges et ne mettent en danger les manifestants et le droit de manifester ?