Je puis vous dire que dans le terrorisme c'est plus car les intéressés veulent des armes de bonne qualité.
C'est la petite délinquance qui permet de financer le trafic de tous ceux auxquels nous sommes confrontés. La plupart de ceux qui partent font des crédits à la consommation qu'ils ne rembourseront évidemment jamais. Bref il ne s'agit ici que de microfinancement.
Vous me demandez, Monsieur Candelier, si l'on constate une attrition des moyens humains…