Les Israéliens disent que nos techniques de big data ne sont pas bonnes. J'ai étudié ces questions en tant que président de l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques. De petites entreprises françaises travaillent sur l'extraction et le traitement de données. Dans notre pays, le renseignement informatique est cloisonné entre le civil et le militaire. C'est par le décloisonnement que nous pourrons progresser.