Sur les 2 500 personnes réparties sur le territoire, il est difficile de faire un classement des bonnes pratiques. Mais très honnêtement, je pense que beaucoup de ces acteurs sont très concernés par la société dans laquelle ils vivent, au regard des difficultés qu'eux-mêmes rencontrent sur le terrain, dans leur entreprise, dans la vie de tous les jours. J'y insiste : il serait très dommage de se priver de cette « gratuité » de conseils de personnes qui sont en général très engagées, peut-être plus dans la branche famille que dans les autres du fait même qu'elles s'occupent de problèmes très concrets.