Peut-être les deux. En tout état de cause, cela montre bien la nécessité de légiférer sur la question. Un nombre croissant d'éleveurs, notamment ceux chez qui nous avons placé nos animaux en pension, nous confient qu'élevant leurs animaux avec le plus grand soin, ils aimeraient être sûrs de savoir dans quelles conditions ils vont être abattus, et regrettent d'avoir de moins en moins de choix, le nombre d'abattoirs étant en diminution.