Je voudrais savoir, mes chers collègues de l’opposition, si vous assumez ces propos qui consistent à accuser le ministre de l’intérieur, les préfets et les responsables de la police d’avoir donné des consignes de non-intervention. Ces propos sont extrêmement graves. Tous les gouvernements sont, ont été ou seront confrontés à ces groupes violents. Ne soyons pas politiciens en cette matière, c’est une réalité.